J’éprouve un grand plaisir a trainer mes basques partout ou ça bricole, ça répare, ça soude, ça construit… Je me régal a écouter ceux qui ont appris sur le tas, ceux qui essaye, apprennent de manière empirique par nécessité ou par curiosité. L’odeur de cambouis, les mains sales et la connexion qu’il y a parfois entre la machine et l’homme sont les raisons qui me poussent a glaner ces images.
5 mai 2021